Préoccupé par la situation qui prévaut sur la route de Yema, le Gouverneur Grâce Bilolo dépêche le Ministre provincial des infrastructures pour s’enquérir de la situation et éventuellement trouver une solution
Choqué par les images qui circulent sur les réseaux sociaux et plusieurs rapports reçus, le Gouverneur du Kongo central, Grâce Nkuanga Masuangi Bilolo, à dépêché Jeudi 26 Décembre à Muanda une délégation constituée notamment du Ministre provincial des infrastructures Jacques MOMBO, du DG de la DGRKC Julien ZAMUANGANA ainsi que des Responsables de l’OVD, Office des routes et l’ACGT pour s’enquérir de la situation et éventuellement trouver une solution sur l’état général de cette route d’in intérêt capital autant pour la province en particulier et pour le Pays en général.
« Nous sommes envoyés par le Gouverneur de province pour en savoir davantage sur la détérioration avancée de la route Muanda-Yema. Nous établirons des rapports à la hiérarchie afin de proposer des solutions », a lâché le Ministre provincial des ITPR.
Entre temps, plus de 50 gros véhicules angolais sont bloqués dans la périphérie de Muanda ne sachant comment faire leur entrée à Cabinda.
Un début de solution au calvaire
» L’arrivée de cette grande délégation Muanda constitue pour nous un début de solution. Nous saluons le sens d’écoute et la promptitude du Gouverneur et nous croyons à un dénouement de la situation dans un bref délai« , a déclaré l’honorable Jean Ndombasi joint par notre rédaction.
Signalons par ailleurs que les importateurs de Muanda qui alimentent la Ville en denrées alimentaires vivrières de première nécessité en cette période festive telle que l’opérateur économique Bole Mbambi Niarcos fait du transbordement, défiant les endroits difficiles tel que le pont sur la rivière Ndunzi.
Rappelons que la dégradation avancée de cette route de Yema a été révélée du haut de la Tribune de l’Assemblée provinciale du Kongo central, par l’honorable Jean Kimboko Ndombasi, lors d’une motion d’information lue au cours de la plénière du Samedi 7 Décembre dernier, alertant sur la détérioration très avancée de cette route qui n’existe que de nom.
Raphaël Ngoma
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