Le Gouverneur Grâce Bilolo prend des mesures draconiennes sur les mouvements du Personnel éducatif au Kongo Central

Après avoir reçu les innombrables plaintes et dénonciations de mutations intempestives et surprenantes par les gestionnaires d’école, le Gouverneur de province, Grâce Bilolo, a pris une décision audacieuse 12 Août dernier, en suspendant les mouvements du personnel de l’Éducation Nationale et de la Nouvelle Citoyenneté.
La lettre du gouverneur met en lumière deux objectifs principaux : assurer une gestion efficace des effectifs bénéficiant de primes provinciales et préserver la stabilité des familles d’enseignants. En effet, les mouvements fréquents et souvent injustifiés des chefs d’établissements ont suscité des plaintes et des perturbations au sein de la communauté éducative.
Notons que cette décision s’inscrit dans une volonté claire du gouverneur Grâce Bilolo de garantir un environnement éducatif stable et propice à l’apprentissage, en accord avec les objectifs du programme gouvernemental sur l’éducation.
La directive interdit toute mutation sans requête préalable et autorisation, instaurant ainsi un cadre disciplinaire rigoureux. Le gouverneur a chargé le Ministre Provincial de l’Éducation de veiller au respect strict de cette mesure, soulignant l’importance d’une large diffusion de l’information auprès des gestionnaires d’écoles.
Cette suspension est perçue comme une réponse aux préoccupations exprimées par les acteurs du secteur éducatif. Elle reflète l’engagement du gouverneur à renforcer la cohérence et la transparence dans la gestion du personnel éducatif. Bien que cette décision puisse susciter des débats, elle marque une étape cruciale vers un système éducatif plus stable et efficace au Kongo Central.
Cette initiative du gouverneur Grâce Bilolo démontre une volonté déterminée de renforcer l’éducation dans la province, en alignement avec les objectifs du programme gouvernemental. Elle représente une avancée significative pour assurer un avenir éducatif prometteur pour les élèves du Kongo Central.
La Rédaction